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L'AUTRUCHE PEUT MOURIR D'UNE CRISE CARDIAQUE EN ENTENDANT LE BRUIT D'UNE TONDEUSE A GAZON QUI SE MET EN MARCHE

L'autruche1 Balthazar Maisch pour site.j

Après une séance d’aérobic, les Chiens de Navarre s’installent autour d’une table pour célébrer, comme il se doit, l’amitié entre les peuples autour d’un verre. Ils commentent l’histoire de l’Europe et se félicitent de la présence dans la compagnie d’un Allemand et d’un Juif. La troupe est savante : des littéraires, des philosophes, qui se gorgent, outre de vin rouge, de « devoir de mémoire », de «diversité culturelle», de «réconciliation», de «beauté de l’art»... Mais ils vont bientôt tomber les masques et faire imploser ce discours bien-pensant avec une rage jouissive et dérangeante. Les hurlements, les insultes pleuvent. L’humour est sale, méchant, grinçant, borderline. Tout se passe comme si les acteurs se révoltaient contre leur condition et revendiquaient sur scène, en direct, le droit à la parole et à l’expression. Avec une énergie folle, ils usent à plein de tous les ressorts du rire. Jusqu’où iront-ils ?

Création collective dirigée par

Jean-Christophe Meurisse

Avec

Caroline Binder, Robert Hatisi, Manu Laskar, Anne-Elodie Sorlin, Maxence Tual, Jean-Luc Vincent

 

Avec la participation de

Antoine Blesson

Régie lumière

Yvon Julou

 

Création et régie son

Isabelle Fuchs

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production : Le Grand Gardon Blanc / Chiens de Navarre

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